Pour Denis Robert, le climat et la qualité de vie ont été des facteurs déterminants dans son choix de travailler et de vivre dans le sud-ouest de l’Ontario. Natif du Nord, Monsieur Robert a démarré sa carrière en éducation en tant qu’enseignant à Pain Court, au nord-est de Windsor. Quoiqu’il ait quitté son poste au bout de 4 ans afin de se rapprocher de sa famille à Timmins, le souvenir du Sud-Ouest est resté. De fil en aiguille, après avoir travaillé à Toronto comme direction adjointe pendant 13 ans, Monsieur Robert était ravi d’accepter un poste de surintendant adjoint au Conseil scolaire catholique Providence : « Windsor, c’est ce qui se rapproche le plus de la Floride au Canada », affirme-t-il. Il ajoute que le rythme de vie est drôlement plus calme à Windsor.
De plus, le coût de la vie dans le Sud-Ouest permet à un enseignant ou une enseignante d’optimiser son salaire. En 2018, le prix médian d’une maison à 2 étages à London était de 395 486$, tandis qu’à Ottawa il se situait à 464 019$. La médiane du prix du même type de maison à Windsor était de 223 501$.
Ensuite, il y a les avantages professionnels de travailler dans la région. Gina Gobbi, diplômée en éducation de l’Université Laurentienne, travaille dans le Sud-Ouest depuis vingt-cinq ans. Elle y a fait belle carrière – œuvrant d’abord comme enseignante pour éventuellement devenir direction adjointe et direction d’école, et maintenant, comme direction des services à l’élève au Conseil scolaire catholique Providence.
Madame Gobbi apprécie la vision de la réussite de l’élève au sein du conseil scolaire: « Ici, on croit que dans un environnement qui le lui permet, chaque élève a la capacité d’atteindre son plein potentiel », dit-elle. Elle ajoute que beaucoup d’appuis sont offerts pour bien outiller le personnel en salle de classe. Voilà pourquoi le conseil a mis en place le système de soutien au comportement positif (SCP) afin d’encourager l’élève à s’autoréguler. Lorsque l’élève a des besoins plus poussés – en travail social, en psychologie ou en orthophonie par exemple – ce n’est jamais très long entre la demande et la prestation des services affirme-t-elle. « Je suis fière de la façon dont on s’occupe de nos élèves ».
Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.